Mon Mp3 est équipé, il n'y a plus qu'à mais...il fait froid !

Maintenant, il faudra se décider sérieusement.
Entretien fait, toute la mécanique vérifiée, les pneus remplacés et les accessoires en place : top case, tablier, manchons.






Un petit coup de flash et on se rassure sur la visibilité latérale de l'engin :



Question pratique : avec les manchons, les gants hiver sont-ils toujours indispensables ou des modèles moins encombrants sont-ils suffisants ?

L'essai "hiver" ce sera pour jeudi madame ayant pris un jour de congé pour faire les boutiques demain ...

As tu des poignées chauffantes ?
Si oui, avec les manchons, je roulais en gant d'été, bien mieux pour garder le touché des commodos.
Si non, gants hiver indispensables.

Merci pour ta réponse.
Je pensais naïvement que la protection serait suffisante pour utiliser des gants été car, en effet, avec les gants hiver c'est un peu compliqué.
Bon, je suis bon pour commander les poignées. Un conseil ?

C'est bé bia comme ça !

Pourvu qu'ça dure !

Des poignées chauffantes, il y en a pléthore.
Sur mon Métropolis, j'avais des Technoglobe
Celles-ci : lien
Efficaces. L'avantage c'est qu'il n'y a pas de boitier déporté pour régler la température. Mais avec tes manchons tu ne verras pas le témoin...

Et pourquoi pas des gants chauffants ?

Oui Technoglobe, je pense qu'ils sont leaders en accessoires.

Sur le 350S j'ai pas eu de chance : des Technoglobe qui n'ont jamais fonctionné et un concessionnaire aux fraises pour la garantie (c'est une des raisons qui m'a fait changer et aller chez Darcos)

Je pense plus m'orienter vers des gants chauffants.
Petite balade ce matin (t° -2/-3) avec des gants de promenade en polaire c'était supportable.
Par contre, il faut s'habituer au tablier et aux manchons, pour trouver les commandes ça va mais pour monter ou descendre de la machine je n'ai pas encore trouvé le "truc" facile. J'ai toujours le deuxième pied qui s'embrouille avec le tablier. Il faut dire que ce dernier est encore tout neuf donc bien raide.

La hantise d'une nouvelle chute parce que les pieds s'emmêlent dedans,  fait que je n'ai jamais considéré favorablement un tablier... (sur la moto, pcq à la maison, là c'est ma femme qui me l'impose !)

Déjà que mon pied gauche rechigne à remonter ou descendre correctement... si en plus il y a un bout de toile sur la trajectoire...

Klot a écrit:Je pense plus m'orienter vers des gants chauffants.
Petite balade ce matin (t° -2/-3) avec des gants de promenade en polaire c'était supportable.
Par contre, il faut s'habituer au tablier et aux manchons, pour trouver les commandes ça va mais pour monter ou descendre de la machine je n'ai pas encore trouvé le "truc" facile. J'ai toujours le deuxième pied qui s'embrouille avec le tablier. Il faut dire que ce dernier est encore tout neuf donc bien raide.

C'est une habitude à prendre.

Si tu as des gants chauffants, l'immense majorité d'entre eux ne chauffe que la partie dorsale de la main et des doigts.
Donc la paume est au frais.
Les poignées chauffantes, c'est évidemment l'inverse.
Si tu roules beaucoup et/ou longtemps et que tu crains le froid, tu termineras comme beaucoup avec les 2...

Gueule_kc a écrit:...Si tu roules beaucoup et/ou longtemps et que tu crains le froid, tu termineras comme beaucoup avec les 2...

La combinaison de ta sémantique et de mon esprit trolleur a fait que je me suis posé des questions sur les 3 petits points à la fin de ton post... avant de réaliser que tu parlais des gants et du guidon... seulement !!!

Même en Tucano, les manchons m'ont emmerdé. Impossible de s'y faire. Ne pas voir les commodos, quelle galère.

Mais bon à plus de 200 € la paire de gants chauffants qu'on perd comme moi, parfois...

Je garde un formidable confort des bulles larges FACO pour mes Tricity. Avec des gants hiver, ça tient très bien à la pluie et au froid.

Pour le MP3, justement, je me tâte à installer encore une bulle haute et large. Mais la hauteur, je la coupe systématiquement, pour que le vent soit suffisant à nettoyer la pluie sur ma visière ;-)

Justement à combiner avec des poignées chauffantes, que je n'oublierai pas je ne sais où.